Acupuncture : l'énergie des bons points
11/11/13
Soufller et respirer, expirer et inspirer, rejeter l'air usé et en absorber du frais, s'étirer à la manièrer de l'ours ou de l'oiseau qui déploie des ailes, tout cela ne vise qu'à la longévité. C'est ce qui est prisé de l'adepte qui s'efforce de guider et d'induire l'énergie, de l'homme qui veut nourrir son corps, ou de celui qui espère vivre très vieux.
Voilà ce que préconise l'un des grands maîtres du taoïsme, Zhuangzi, à la fin du IV siècle avant JC, pour maintenir en éveil l'équilibre du corps et de l'esprit afin qu'aucun mal ne vienne les troubler.
Mais si l'énergie vitale circule dans le corps de tout être, il faut trouver les canaux qui la véhiculent et els stimuler avant qu'elle faiblisse, ou bien savoir la modérer quand elle est en excès. On pourra ainsi diagnostiquer voir anticiper les maladies. L'acupuncture est l'une des pratiques thérapeutiques appropriées de la médecine chinoise.
Un des plus anciens traités d'acupuncture, doterait de deux siècles avant JC. Il définit le trajet des méridiens et les douze manaières de puncturer. Mais on dit que le premier ouvrage remonterait à quatre mille ans. Son auteur, l'empreur Houang Ti, y recommandait aux moines, pour soigner les malades, l'utilisation d'aiguilles en métal à la place des pointes acérées en pierre dures.
Connaître parfaitement la cartographie des points d'acupuncture sur les méridiens fait partie d'un bon apprentissage de la médecine chinoise. On les trouve donc représentés sur de nombreuses planches d'anatomie. De face, de dos, de profil, le squelette humain se trouve ainsi criblé de points de puncturation comme autant d'émergences de l'énergie à la peau.
Voilà ce que préconise l'un des grands maîtres du taoïsme, Zhuangzi, à la fin du IV siècle avant JC, pour maintenir en éveil l'équilibre du corps et de l'esprit afin qu'aucun mal ne vienne les troubler.
Mais si l'énergie vitale circule dans le corps de tout être, il faut trouver les canaux qui la véhiculent et els stimuler avant qu'elle faiblisse, ou bien savoir la modérer quand elle est en excès. On pourra ainsi diagnostiquer voir anticiper les maladies. L'acupuncture est l'une des pratiques thérapeutiques appropriées de la médecine chinoise.
Un des plus anciens traités d'acupuncture, doterait de deux siècles avant JC. Il définit le trajet des méridiens et les douze manaières de puncturer. Mais on dit que le premier ouvrage remonterait à quatre mille ans. Son auteur, l'empreur Houang Ti, y recommandait aux moines, pour soigner les malades, l'utilisation d'aiguilles en métal à la place des pointes acérées en pierre dures.
Connaître parfaitement la cartographie des points d'acupuncture sur les méridiens fait partie d'un bon apprentissage de la médecine chinoise. On les trouve donc représentés sur de nombreuses planches d'anatomie. De face, de dos, de profil, le squelette humain se trouve ainsi criblé de points de puncturation comme autant d'émergences de l'énergie à la peau.
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